Santé
Tabac, alcool, drogues… Les jeunes en consomment de moins en moins
La consommation de tabac en très forte baisse, celle de cannabis et d’alcool légèrement en baisse … Selon la dernière étude dévoilée par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), menée en mars 2017 auprès de 46.054 adolescents, la consommation de drogue chez les jeunes de 17 ans a continué de diminuer en 2017.
Moins de quatre jeunes de 17 ans sur dix affirment avoir déjà fumé du cannabis en 2017, soit le niveau de consommation le plus bas enregistré depuis 2000, et une baisse de 8,7% comparé à 2014. "Le niveau de consommation régulière de cannabis demeure supérieur à celui de 2011 (6,5%) et fait toujours partie des plus élevés d'Europe", souligne toutefois l'OFDT.
Un quart des jeunes se déclarent fumeurs quotidiens, soit 7,3% de moins qu’en 2014. De même, 59% affirment avoir déjà goûté à la cigarette, soit 9,4% de moins qu’en 2014, une baisse jamais vue depuis vingt ans. Si l’alcool est une expérience quasi généralisée (85,7% des sondés), seuls 8,4% se disent buveurs réguliers, c’est-à-dire ayant bu plus de dix fois par mois. Enfin, 6,8% des jeunes disent avoir essayé d’autres substances illicites, un chiffre en légère baisse. Cette baisse générale est toutefois à prendre avec précaution, "les adolescents étant pleins de surprise, leurs comportements sont très variables, soumis aux effets de mode", estime Stanislas Spilka, responsable de cette enquête.
Moins de quatre jeunes de 17 ans sur dix affirment avoir déjà fumé du cannabis en 2017, soit le niveau de consommation le plus bas enregistré depuis 2000, et une baisse de 8,7% comparé à 2014. "Le niveau de consommation régulière de cannabis demeure supérieur à celui de 2011 (6,5%) et fait toujours partie des plus élevés d'Europe", souligne toutefois l'OFDT.
Un quart des jeunes se déclarent fumeurs quotidiens, soit 7,3% de moins qu’en 2014. De même, 59% affirment avoir déjà goûté à la cigarette, soit 9,4% de moins qu’en 2014, une baisse jamais vue depuis vingt ans. Si l’alcool est une expérience quasi généralisée (85,7% des sondés), seuls 8,4% se disent buveurs réguliers, c’est-à-dire ayant bu plus de dix fois par mois. Enfin, 6,8% des jeunes disent avoir essayé d’autres substances illicites, un chiffre en légère baisse. Cette baisse générale est toutefois à prendre avec précaution, "les adolescents étant pleins de surprise, leurs comportements sont très variables, soumis aux effets de mode", estime Stanislas Spilka, responsable de cette enquête.