Économie
Quand un patron offre 1,6 million d'euros à ses salariés...
"Quand on sait partager, on peut emmener ses équipes au bout du monde", assure Jean-Louis Brissaud, PDG de la société Starter, qui réalise 250 millions d’euros de chiffre d’affaires. Dans la commune de Saint-Fons, dans la région lyonnaise, ce patron généreux fait parler de lui. Pour fêter les 25 ans de sa PME, il a décidé d'offrir des primes à ses salariés. Le montant de ces primes ira de 500 euros - pour les salariés depuis moins de trois mois - à 35 000 euros - pour les plus anciens, qui y travaillent depuis plus de vingt ans. Au total, c'est un pactole d'environ 1,6 million qui sera versé aux salariés de la PME, en plus de leur salaire mensuel. Sur son compte Twitter, l'entreprise a publié une photo de ses équipes, avec le mot-dièse « J'aime ma boîte ».
Pour ce PDG, cet altruisme est parfaitement "normal" . "Dans notre entreprise, il y a toujours eu un management participatif, précise-t-il à l'édition locale de 20 Minutes qui a repéré cette information. Nos collaborateurs travaillent depuis des semaines, des mois et même des années, pour certains. Ils se sont investis pour fonder et faire fleurir la société. Il est donc tout à fait logique que l'on partage les bénéfices. » "Dans notre société occidentale, les managers sont bien souvent égocentriques", a-t-il également expliqué. "Dans les start-up, on voit qu'on recherche à tirer le maximum avant de revendre. Mais ce n'est pas notre philosophie. Si vous voulez pérenniser une entreprise, il faut savoir faire preuve d'empathie et d'altruisme. Cela n'est pas incompatible avec le fait d'engendrer des bénéfices."
Pour ce PDG, cet altruisme est parfaitement "normal" . "Dans notre entreprise, il y a toujours eu un management participatif, précise-t-il à l'édition locale de 20 Minutes qui a repéré cette information. Nos collaborateurs travaillent depuis des semaines, des mois et même des années, pour certains. Ils se sont investis pour fonder et faire fleurir la société. Il est donc tout à fait logique que l'on partage les bénéfices. » "Dans notre société occidentale, les managers sont bien souvent égocentriques", a-t-il également expliqué. "Dans les start-up, on voit qu'on recherche à tirer le maximum avant de revendre. Mais ce n'est pas notre philosophie. Si vous voulez pérenniser une entreprise, il faut savoir faire preuve d'empathie et d'altruisme. Cela n'est pas incompatible avec le fait d'engendrer des bénéfices."