Politique
Présidentielle : garder la raison, la paix et l’énergie !
C’est l’invitation que lance Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA, en commentant sur son blog la situation d’entre-deux-tours de cette campagne présidentielle chaotique :
«La paix est une décision » - cette « paix du cœur d’autant plus à convoquer que les temps s’annoncent troublés » et le sont déjà après un quinquennat qui a « divisé les Français et fracturé la société ».
Ensuite, récupérer l’énergie : « Si chacun pouvait réorienter toute cette énergie dilapidée en inquiétude, déploration et diatribes pour faire grandir la justice autour de lui, nous ferions un grand pas vers la vraie politique. Et je ne m’exclus pas de cette exhortation. »
Pas de consigne de vote : « Rien ne peut dispenser chacun de sa propre réflexion. » Certes, « Emmanuel Macron propose, sur plusieurs points majeurs, d’aggraver ce que nous avons appelé la « casse sociétale » du quinquennat Hollande ». Cependant, ajoute-t-il, « ces critères, pour importants qu’ils soient (on dit parfois de certains qu’ils sont « non négociables »), ne sont pas exclusifs. À chacun de les relier aux autres points qui lui semblent essentiels avant de faire son choix. »
Ce choix doit être éclairé : notamment par ce que le pape François dans Laudato si’ : la personne âgée, la personne handicapée, l’étranger, celui qui vit dans la misère ou sans domicile, et aussi l’embryon humain livré aux laboratoires, tous sont des pauvres à considérer et protéger. S’il renvoie « dos à dos » les finalistes de la présidentielle, cet impératif « interroge aussi chacun d’entre nous sur les critères qui définissent à nos yeux la paix. »
Sa conclusion ? « Agir ! » notamment à l’approche des législatives : « Nos équipes vont rencontrer les candidats » « Aucune raison de se décourager : la vertu de patience est une urgence. »
«La paix est une décision » - cette « paix du cœur d’autant plus à convoquer que les temps s’annoncent troublés » et le sont déjà après un quinquennat qui a « divisé les Français et fracturé la société ».
Ensuite, récupérer l’énergie : « Si chacun pouvait réorienter toute cette énergie dilapidée en inquiétude, déploration et diatribes pour faire grandir la justice autour de lui, nous ferions un grand pas vers la vraie politique. Et je ne m’exclus pas de cette exhortation. »
Pas de consigne de vote : « Rien ne peut dispenser chacun de sa propre réflexion. » Certes, « Emmanuel Macron propose, sur plusieurs points majeurs, d’aggraver ce que nous avons appelé la « casse sociétale » du quinquennat Hollande ». Cependant, ajoute-t-il, « ces critères, pour importants qu’ils soient (on dit parfois de certains qu’ils sont « non négociables »), ne sont pas exclusifs. À chacun de les relier aux autres points qui lui semblent essentiels avant de faire son choix. »
Ce choix doit être éclairé : notamment par ce que le pape François dans Laudato si’ : la personne âgée, la personne handicapée, l’étranger, celui qui vit dans la misère ou sans domicile, et aussi l’embryon humain livré aux laboratoires, tous sont des pauvres à considérer et protéger. S’il renvoie « dos à dos » les finalistes de la présidentielle, cet impératif « interroge aussi chacun d’entre nous sur les critères qui définissent à nos yeux la paix. »
Sa conclusion ? « Agir ! » notamment à l’approche des législatives : « Nos équipes vont rencontrer les candidats » « Aucune raison de se décourager : la vertu de patience est une urgence. »
La sélection
Comment raison garder ?
Le Blog de Tugdual Derville