
Avec Macron, il faut que tout change pour que rien ne change
Les moyens utilisés :
-« violations des libertés publiques et piétinement des principes républicains » assortis d’une « servitude volontaire des médias… appartenant aux oligarques, ou au service public ». « Avec un double objectif : disqualification du candidat de droite et étouffement du débat de fond. »
-« Instrumentalisation sans vergogne de la justice » (Parquet national financier et Pôle financier de mèche avec le Canard Enchaîné) contre Fillon. Précipitation contre ce dernier, lenteur contre Macron. « Pourtant la plus haute hiérarchie judiciaire nous dit que : « la justice suit son rythme en toute indépendance », en oubliant de rappeler qu’elle doit aussi le faire en toute impartialité. »
Enfin la personnalité de Macron (dont on a vu déjà la « philosophie ») ne laisse rien augurer de bon : Cet « apparatchik sans principes », laisse de son passage au gouvernement des opérations douteuses, telles le rachat du journal Le Monde, la cession à des investisseurs chinois de l’aéroport de Toulouse-Blagnac et « le très trouble bradage de la branche énergie d’Alstom à General Electric ». (Il aurait pu ajouter le rachat de SFR par Patrick Drahi, 6ème fortune française propriétaire d’un groupe de presse comprenant L’ Express, Libération, l’Etudiant, RMC/BFMTV – cette dernière particulièrement active dans sa promotion de Macron et son acharnement contre Fillon).
Conclusion : rien à attendre de bon notamment pour les libertés publiques de l’éventuelle accession au pouvoir Emmanuel Macron, créature de « l’oligarchie néolibérale mondialisée ».
