Politique
Avec Macron, il faut que tout change pour que rien ne change
Cette célèbre formule du film « Le Guépard » pourrait servir de titre à cette tribune de l’avocat Régis de Castelnau dans Causeur. Derrière la promotion d’Emmanuel Macron, héritier de François Hollande, par la collusion entre les appareils judiciaire et médiatique, il discerne en effet « une tentative de continuer comme si de rien n’était ».
Les moyens utilisés :
-« violations des libertés publiques et piétinement des principes républicains » assortis d’une « servitude volontaire des médias… appartenant aux oligarques, ou au service public ». « Avec un double objectif : disqualification du candidat de droite et étouffement du débat de fond. »
-« Instrumentalisation sans vergogne de la justice » (Parquet national financier et Pôle financier de mèche avec le Canard Enchaîné) contre Fillon. Précipitation contre ce dernier, lenteur contre Macron. « Pourtant la plus haute hiérarchie judiciaire nous dit que : « la justice suit son rythme en toute indépendance », en oubliant de rappeler qu’elle doit aussi le faire en toute impartialité. »
Enfin la personnalité de Macron (dont on a vu déjà la « philosophie ») ne laisse rien augurer de bon : Cet « apparatchik sans principes », laisse de son passage au gouvernement des opérations douteuses, telles le rachat du journal Le Monde, la cession à des investisseurs chinois de l’aéroport de Toulouse-Blagnac et « le très trouble bradage de la branche énergie d’Alstom à General Electric ». (Il aurait pu ajouter le rachat de SFR par Patrick Drahi, 6ème fortune française propriétaire d’un groupe de presse comprenant L’ Express, Libération, l’Etudiant, RMC/BFMTV – cette dernière particulièrement active dans sa promotion de Macron et son acharnement contre Fillon).
Conclusion : rien à attendre de bon notamment pour les libertés publiques de l’éventuelle accession au pouvoir Emmanuel Macron, créature de « l’oligarchie néolibérale mondialisée ».
Les moyens utilisés :
-« violations des libertés publiques et piétinement des principes républicains » assortis d’une « servitude volontaire des médias… appartenant aux oligarques, ou au service public ». « Avec un double objectif : disqualification du candidat de droite et étouffement du débat de fond. »
-« Instrumentalisation sans vergogne de la justice » (Parquet national financier et Pôle financier de mèche avec le Canard Enchaîné) contre Fillon. Précipitation contre ce dernier, lenteur contre Macron. « Pourtant la plus haute hiérarchie judiciaire nous dit que : « la justice suit son rythme en toute indépendance », en oubliant de rappeler qu’elle doit aussi le faire en toute impartialité. »
Enfin la personnalité de Macron (dont on a vu déjà la « philosophie ») ne laisse rien augurer de bon : Cet « apparatchik sans principes », laisse de son passage au gouvernement des opérations douteuses, telles le rachat du journal Le Monde, la cession à des investisseurs chinois de l’aéroport de Toulouse-Blagnac et « le très trouble bradage de la branche énergie d’Alstom à General Electric ». (Il aurait pu ajouter le rachat de SFR par Patrick Drahi, 6ème fortune française propriétaire d’un groupe de presse comprenant L’ Express, Libération, l’Etudiant, RMC/BFMTV – cette dernière particulièrement active dans sa promotion de Macron et son acharnement contre Fillon).
Conclusion : rien à attendre de bon notamment pour les libertés publiques de l’éventuelle accession au pouvoir Emmanuel Macron, créature de « l’oligarchie néolibérale mondialisée ».
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