Politique
Avant de voter, les simples conseils du cardinal Barbarin
A 48 heures du premier tour de l’élection présidentielle, il n’est plus temps de se faire des nœuds au cerveau… Sur RCF, le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon et primat des Gaules, donne aux chrétiens des conseils très simples, tirés de sa propre expérience.
Au terme d’une campagne électorale « incroyablement chaotique » qu’il a vécue « de manière un peu douloureuse comme pas mal de monde », Mgr Barbarin se concentre sur « la responsabilité des électeurs ». Pour qui voter ? « Je réfléchis posément pour voir quelle est la personne la plus apte à remplir cette fonction » et à cet effort intellectuel, le cardinal suggère d’ajouter la prière.
Il ne s’agit pas de s’illusionner sur le candidat, ni même sur son programme dans lequel il peut y avoir « beaucoup de baratin ». Car « fondamentalement, on élit une personne » et « celle-ci doit être un chef », respectueux des corps intermédiaires qui « font marcher la machine », et le peuple. « L’harmonie de la politique tient à ses trois pôles : un chef, les corps intermédiaires, enfin le bien de tous ».
« Je vote non pour le bon Dieu, insiste l’archevêque de Lyon, mais pour celui qui doit gouverner le pays, tenir la barre ».
Au terme d’une campagne électorale « incroyablement chaotique » qu’il a vécue « de manière un peu douloureuse comme pas mal de monde », Mgr Barbarin se concentre sur « la responsabilité des électeurs ». Pour qui voter ? « Je réfléchis posément pour voir quelle est la personne la plus apte à remplir cette fonction » et à cet effort intellectuel, le cardinal suggère d’ajouter la prière.
Il ne s’agit pas de s’illusionner sur le candidat, ni même sur son programme dans lequel il peut y avoir « beaucoup de baratin ». Car « fondamentalement, on élit une personne » et « celle-ci doit être un chef », respectueux des corps intermédiaires qui « font marcher la machine », et le peuple. « L’harmonie de la politique tient à ses trois pôles : un chef, les corps intermédiaires, enfin le bien de tous ».
« Je vote non pour le bon Dieu, insiste l’archevêque de Lyon, mais pour celui qui doit gouverner le pays, tenir la barre ».
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