Bioéthique
Horreur ! L’instinct maternel existe !
Coup dur pour les féministes et les tenants de la théorie du « gender » : une étude publiée par la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS) démontre que le cerveau des mères est biologiquement programmé pour répondre aux pleurs du bébé. « Ce n’est pas une bonne nouvelle » commente -avec humour- Marie-Pierre Genecand dans un billet d’humeur publié par le journal suisse Le Temps.
Les thèses féministes d’Elisabeth Badinter et de Judith Butler, la papesse du « gender » pour qui l’identité sexuelle est avant tout culturelle, viennent de prendre un sacré coup de vieux. «J’ai grandi avec l’idée que l’instinct maternel était une construction sociale…un mythe destiné à assigner à la femme le rôle de mère» témoigne Marie-Pierre Genecand. Mais patatras ! La biologie s’invite dans le débat. Selon une investigation menée par IRM sur 684 femmes dans 11 pays du globe, les zones cervicales du mouvement et de la parole s’activent dans les cerveaux féminins lorsque le bébé se met à pleurer, avec une régularité et une intensité qui ne se retrouvent pas dans les cerveaux masculins… « Il va falloir digérer ça » ajoute Marie-Pierre Genecand. Bébé, lui, appréciera : ses cris, même les plus stridents, n’ont jamais réussi à faire monter la moindre goutte de lait dans un sein paternel.
Les thèses féministes d’Elisabeth Badinter et de Judith Butler, la papesse du « gender » pour qui l’identité sexuelle est avant tout culturelle, viennent de prendre un sacré coup de vieux. «J’ai grandi avec l’idée que l’instinct maternel était une construction sociale…un mythe destiné à assigner à la femme le rôle de mère» témoigne Marie-Pierre Genecand. Mais patatras ! La biologie s’invite dans le débat. Selon une investigation menée par IRM sur 684 femmes dans 11 pays du globe, les zones cervicales du mouvement et de la parole s’activent dans les cerveaux féminins lorsque le bébé se met à pleurer, avec une régularité et une intensité qui ne se retrouvent pas dans les cerveaux masculins… « Il va falloir digérer ça » ajoute Marie-Pierre Genecand. Bébé, lui, appréciera : ses cris, même les plus stridents, n’ont jamais réussi à faire monter la moindre goutte de lait dans un sein paternel.