Économie
Avec Renault, la France revient en force en Iran
Réouverture du pays oblige, Renault vient de signer un accord de 660 millions d’euros en Iran. Cet accord prévoit la construction de 300 000 voitures par an à terme, près d’un tiers de la production étant destiné à l’exportation. Ces investissements passeront par la création d’une coentreprise détenue par Renault (60 %), explique Le Monde. l’Organisation pour la rénovation et le développement industriel (20 %) – un organisme public iranien – et la société privée iranienne Parto Neguine Nasseh (20 %).
« La première phase de cet accord d’une valeur de 660 millions d’euros prévoit la construction de 150 000 voitures » par an, a détaillé Mansour Moazami, le patron de l’Organisation pour la rénovation et le développement industriel. Les premières voitures ainsi produites seront vendues d’ici un an et demi. Cette La coentreprise sera installée à Saveh, à environ 120 kilomètres au sud-ouest de Téhéran, dans une usine déjà existante, qui sera développée et modernisée. Elle produira des modèles Renault Symbol et Duster de Dacia, marque roumaine rachetée par Renault.
Le constructeur français, présent sans arrêt depuis 2004 dans le pays, estime que la production automobile en Iran devrait atteindre deux millions de véhicules par an en 2020. Depuis l’accord conclu en juillet 2015 entre l’Iran et les grandes puissances, les compagnies françaises ont fait un retour en force en Iran, et poursuivent leur implantation en dépit de la pression des Etats-Unis, qui ont adopté depuis de nouvelles sanctions contre l’Iran.
« La première phase de cet accord d’une valeur de 660 millions d’euros prévoit la construction de 150 000 voitures » par an, a détaillé Mansour Moazami, le patron de l’Organisation pour la rénovation et le développement industriel. Les premières voitures ainsi produites seront vendues d’ici un an et demi. Cette La coentreprise sera installée à Saveh, à environ 120 kilomètres au sud-ouest de Téhéran, dans une usine déjà existante, qui sera développée et modernisée. Elle produira des modèles Renault Symbol et Duster de Dacia, marque roumaine rachetée par Renault.
Le constructeur français, présent sans arrêt depuis 2004 dans le pays, estime que la production automobile en Iran devrait atteindre deux millions de véhicules par an en 2020. Depuis l’accord conclu en juillet 2015 entre l’Iran et les grandes puissances, les compagnies françaises ont fait un retour en force en Iran, et poursuivent leur implantation en dépit de la pression des Etats-Unis, qui ont adopté depuis de nouvelles sanctions contre l’Iran.