Bioéthique
Les 36 mesures anti-sociétales du quinquennat de François Hollande
A télécharger sur internet et à diffuser largement, ce saisissant «Bilan occulté du quinquennat Hollande » par Alliance Vita.
En exergue de ce document exceptionnel, cette « petite blague » cynique du président de la République faite le 11 mars 2017 à la basilique Saint-Denis, alors qu’il gravait ses initiales sur une pierre, lors d’une cérémonie de lancement de travaux de reconstruction : « Je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination…Laissez-moi faire ! ».
De fait, « derrière les hésitations économiques et sociales du quinquennat qui s’achève se cache une logique implacable, celle d’une véritable « casse sociétale », explique Tugdual Derville, délégué général d’Alliance Vita, dans la préface de ce document. Les 36 mesures comptabilisées par Alliance Vita en cinq ans ont fragilisé les repères structurant la société : famille, filiation, conception de la vie, de son commencement à sa fin.
On lira l’exposé de ces 36 mesures et leurs commentaires.
13 mesures bouleversent le mariage et la filiation à commencer par la « réforme de civilisation » de la loi Taubira ouvrant le mariage et l’adoption aux personnes de même sexe.
5 mesures fragilisent l’embryon humain à commencer par la levée de l’interdiction sur sa recherche (autrement dit sur sa destruction).
4 mesures fragilisent les personnes en fin de vie dont l’instauration du droit ambigu à la « sédation profonde et continue jusqu’au décès », porte ouverte à l’euthanasie.
14 mesures fragilisent la maternité et le début de la vie dont le vote du « droit fondamental » à l’avortement et du « délit d’entrave à l’IVG ».
Conclusion : Il est urgent de rétablir des repères structurants dans notre société. « En période d’incertitude et de doute sur son identité, notre société a besoin de fondations stables et solides, d’une anthropologie respectant l’être humain à tous ses stades, en particulier quand il est le plus fragile » écrit notamment Tugdual Derville.
« Une question s’impose donc au cœur de la campagne présidentielle : quel candidat osera réparer la casse sociétale ? Qui aura le courage de restaurer ce qui a été fragilisé, cassé, détruit ? »
En exergue de ce document exceptionnel, cette « petite blague » cynique du président de la République faite le 11 mars 2017 à la basilique Saint-Denis, alors qu’il gravait ses initiales sur une pierre, lors d’une cérémonie de lancement de travaux de reconstruction : « Je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination…Laissez-moi faire ! ».
De fait, « derrière les hésitations économiques et sociales du quinquennat qui s’achève se cache une logique implacable, celle d’une véritable « casse sociétale », explique Tugdual Derville, délégué général d’Alliance Vita, dans la préface de ce document. Les 36 mesures comptabilisées par Alliance Vita en cinq ans ont fragilisé les repères structurant la société : famille, filiation, conception de la vie, de son commencement à sa fin.
On lira l’exposé de ces 36 mesures et leurs commentaires.
13 mesures bouleversent le mariage et la filiation à commencer par la « réforme de civilisation » de la loi Taubira ouvrant le mariage et l’adoption aux personnes de même sexe.
5 mesures fragilisent l’embryon humain à commencer par la levée de l’interdiction sur sa recherche (autrement dit sur sa destruction).
4 mesures fragilisent les personnes en fin de vie dont l’instauration du droit ambigu à la « sédation profonde et continue jusqu’au décès », porte ouverte à l’euthanasie.
14 mesures fragilisent la maternité et le début de la vie dont le vote du « droit fondamental » à l’avortement et du « délit d’entrave à l’IVG ».
Conclusion : Il est urgent de rétablir des repères structurants dans notre société. « En période d’incertitude et de doute sur son identité, notre société a besoin de fondations stables et solides, d’une anthropologie respectant l’être humain à tous ses stades, en particulier quand il est le plus fragile » écrit notamment Tugdual Derville.
« Une question s’impose donc au cœur de la campagne présidentielle : quel candidat osera réparer la casse sociétale ? Qui aura le courage de restaurer ce qui a été fragilisé, cassé, détruit ? »