Société
Comment l’application Yuka a piqué au vif la grande distribution
Qu’est-ce qui vient d’amener le réseau Intermarché à annoncer qu’il allait modifier la composition de 900 produits de sa marque de distributeur, pour en retirer 142 additifs potentiellement nocifs ? Une simple application sur smartphone, mais utilisée désormais par 12 millions de personnes en France.
Yuka rend littéralement le pouvoir aux consommateurs en leur permettant de scanner les produits en rayon, en faisant ses courses, non seulement pour en connaître la composition en détail, mais aussi pour les noter. En dessous de 50%, mieux vaut passer son chemin, et l’app vous proposera même un produit alternatif pour respecter votre liste de courses. Une fonctionnalité qui a littéralement engendré le boycott de certains produits.
Selon une récente enquête menée pour Yuka auprès de 230.000 utilisateurs,
94% d’entre eux ont arrêté d’acheter certains produits et favorisent le brut et le bio.
83% achètent moins mais de meilleure qualité,
88% pensent que l’application peut faire évoluer la législation sur les substances autorisées dans les produits.
Et, surtout, 90% sont convaincus que Yuka peut pousser les marques, notamment celles de la grande distribution, à proposer de meilleurs produits.
C’est donc déjà le cas avec la chaîne Intermarché, qui veut clairement faire repasser ses produits au-dessus de la barre des 50 sur 100… pour éviter que Yuka ne propose une autre référence à la place ! Avec trois millions d’articles scannés chaque jour, c’est désormais au tour de la grande distribution de trembler …
Yuka rend littéralement le pouvoir aux consommateurs en leur permettant de scanner les produits en rayon, en faisant ses courses, non seulement pour en connaître la composition en détail, mais aussi pour les noter. En dessous de 50%, mieux vaut passer son chemin, et l’app vous proposera même un produit alternatif pour respecter votre liste de courses. Une fonctionnalité qui a littéralement engendré le boycott de certains produits.
Selon une récente enquête menée pour Yuka auprès de 230.000 utilisateurs,
94% d’entre eux ont arrêté d’acheter certains produits et favorisent le brut et le bio.
83% achètent moins mais de meilleure qualité,
88% pensent que l’application peut faire évoluer la législation sur les substances autorisées dans les produits.
Et, surtout, 90% sont convaincus que Yuka peut pousser les marques, notamment celles de la grande distribution, à proposer de meilleurs produits.
C’est donc déjà le cas avec la chaîne Intermarché, qui veut clairement faire repasser ses produits au-dessus de la barre des 50 sur 100… pour éviter que Yuka ne propose une autre référence à la place ! Avec trois millions d’articles scannés chaque jour, c’est désormais au tour de la grande distribution de trembler …