Santé
À Noël, gare à l'infarctus...
Étonnant : un pic de crises cardiaques est prévu le soir du réveillon de Noël, aux alentours de 22 heures. Une précision qui semble presque relever de la divination ! Et pourtant, c’est bel et bien l’un des enseignements d’une vaste étude réalisée par des chercheurs suédois auprès de 283.000 personnes pendant quinze ans, de 1998 à 2013.
Très logiquement, le risque de faire un infarctus est plus élevé pour les personnes âgées de plus de 75 ans, celles ayant des antécédents de maladie coronarienne et celles atteintes de diabète connu. Mais pas seulement. Ainsi, les moments les plus à risque sont les vacances d’été… et les fêtes de fin d’année. Et selon l’heure, le risque augmente encore. Ainsi, 22 heures, un 24 décembre, est le moment précis où le risque de faire une crise cardiaque est le plus élevé, 37% de plus que d’ordinaire, selon cette étude publiée le 12 décembre dernier dans le British Medical Journal. Durant les fêtes, la hausse moyenne du risque est d’environ 15%. Elle passe à 20% le premier de l’An. "Cela peut être dû aux effets de l'excès d'alcool et d'alimentation, à l'exposition aux températures froides et au manque de sommeil", précisent les chercheurs. Raison de plus non seulement pour veiller sur ses proches et rester en leur compagnie en cette fin d’année, mais aussi pour que chacun connaisse les gestes de premiers secours, les bons réflexes à avoir en cas d'arrêt cardiaque.
Très logiquement, le risque de faire un infarctus est plus élevé pour les personnes âgées de plus de 75 ans, celles ayant des antécédents de maladie coronarienne et celles atteintes de diabète connu. Mais pas seulement. Ainsi, les moments les plus à risque sont les vacances d’été… et les fêtes de fin d’année. Et selon l’heure, le risque augmente encore. Ainsi, 22 heures, un 24 décembre, est le moment précis où le risque de faire une crise cardiaque est le plus élevé, 37% de plus que d’ordinaire, selon cette étude publiée le 12 décembre dernier dans le British Medical Journal. Durant les fêtes, la hausse moyenne du risque est d’environ 15%. Elle passe à 20% le premier de l’An. "Cela peut être dû aux effets de l'excès d'alcool et d'alimentation, à l'exposition aux températures froides et au manque de sommeil", précisent les chercheurs. Raison de plus non seulement pour veiller sur ses proches et rester en leur compagnie en cette fin d’année, mais aussi pour que chacun connaisse les gestes de premiers secours, les bons réflexes à avoir en cas d'arrêt cardiaque.