Santé
Effets indésirables des vaccins contre le covid-19 : les victimes s'organisent
Si la pandémie du covid-19 est officiellement terminée, la question des conséquences à long terme de la maladie et des vaccins reste actuelle, surtout pour ceux qui souffrent du covid long ou qui ont subi des effets secondaires suite à la vaccination. Si certains estiment que la discussion de ces effets a été trop longtemps maintenue sous cloche, on observe plusieurs initiatives récentes au niveau international qui montrent que les victimes sont désormais en train de s’organiser sur le plan non seulement médiatique mais aussi légal.
En Australie, un recours collectif vient d’être lancé contre le gouvernement et les régulateurs pharmaceutiques par le médecin Melissa McCann, rejointe par quelque 500 personnes. On allègue que les vaccins auraient été approuvés sans base logique ni preuves permettant de déterminer leur niveau de sûreté, accusant par ailleurs le gouvernement de négligence pour avoir gardé ces produits sur le marché malgré la constatation des effets indésirables. Ce recours a été motivé par l'insuffisance perçue du mécanisme existant de signalement de tels effets en place en Australie depuis 2021. Si certains individus ont bien été dédommagés, plusieurs milliers attendent encore l’étude de leur cas. Le gouvernement semble pourtant avoir anticipé une vague de plaintes, ayant prévu $77 millions AUS en octobre 2022 pour le dédommagement des victimes pendant l'année en cours.
En Italie, on observe des développements analogues. L’ex-Ministre de la santé Roberto Speranza et l’ex-directeur de l’Agence Pharmaceutique Italienne (AIFA) Nicola Magrini font actuellement l’objet d’une dénonciation déposée au Procureur de Rome par l’Association Ascoltami des victimes des effets secondaires des vaccins, ainsi que par deux syndicats. On accuse Speranza et Magrini de corruption dans l’exercice de leurs fonctions et d'actions contraires à leurs obligations de fonction suite à la révélation par l’émission TV Fuori dal Coro de documents internes de l’AIFA. Ces « Aifa leaks » montrent notamment la censure d’informations parvenues à l’agence concernant le nombre de décès potentiellement liés aux vaccins ainsi qu’une corrélation possible entre la vaccination et des problèmes chez des nouveaux-nés allaités par des mères vaccinées. On demande par ailleurs la saisie des vaccins à ARN messager afin d’enquêter sur les lipides ALC 0315/ALC 0159 (Pfizer) et SM 102 (Moderna), suite à la publication par le biochimiste Gabriele Segalla d’un article scientifique se plaignant de l’absence d’études toxicologiques concernant ces substances jamais utilisées en Europe et qui ne figurent pas dans la Pharmacopée européenne. Analysant le vaccin de Pfizer-BioNTech au niveau des nanoparticules, Segalla montre également que la composition de la 1ère version du vaccin (flacons à bouchon violet) contredisait les normes de sécurité mentionnées explicitement par BioNTech dans le brevet d’un autre produit à ARN messager sorti en 2019. Ils auraient donc livré un produit instable tout en connaissant les dangers potentiels. Une 2ème version a été sortie par Pfizer-BioNTech en octobre 2021, promettant une plus grande stabilité, mais sans que les flacons à bouchon violet soient retirés du commerce.
Les accusations contre l’AIFA sont lourdes, notamment en ce qui concerne son inaction face aux dangers thrombotiques du vaccin d’AstraZeneca. Ayant suivi d'autres pays en le suspendant par précaution en mars 2021, l’AIFA a pourtant organisé des journées « portes ouvertes » offrant la vaccination malgré des mises en garde à l'égard d'éventuels accidents cardio-vasculaires. Le 10 juin 2021, Camilla Canepa (18 ans) meurt d’une thrombose cérébrale lors d’une telle journée après l’administration du vaccin. Speranza et Magrini auraient également essayé de bloquer la saisie d’un lot d'AstraZeneca ordonnée par le Procureur après le décès du militaire Stefano Paterno suite à la vaccination. L'équipe de Fuori dal Coro a aussi montré comment toute référence à d’éventuels décès dans l'ébauche d'un rapport de pharmacovigilance de l’AIFA a été supprimée avant sa publication finale.
Une accusation connexe concerne l'étrange hostilité des autorités aux traitements précoces contre le covid-19, comme a souligné le Dr Andrea Stramezzi (vidéo: 19:55) au 3ème International Covid Summit au Parlement européen à Bruxelles le 3 mai. Se basant sur les publications d'Anthony Fauci à l'égard du SARS-CoV1 ainsi que les expériences in vitro du Pr Didier Raoult sur le SARS-CoV2, le Dr Stramezzi avait soigné de nombreux patients au début de la pandémie avec un protocole utilisant des médicaments déjà connus, tout comme le Dr Gerardo Torre, qui a guéri plus de 3 000 malades chez eux en ignorant les conseils officiels en cas d’infection (semblables à ceux donnés en France – Paracetamol et « attente vigilante »). Des conseils donnés, selon plusieurs intervenants à Bruxelles, afin de créer l'impression, malgré l'évidence du contraire, que le covid-19 ne pouvait pas être traité – une condition préalable pour pouvoir autoriser les vaccins. Coïncidence ou stratégie commerciale et politique ?
En Australie, un recours collectif vient d’être lancé contre le gouvernement et les régulateurs pharmaceutiques par le médecin Melissa McCann, rejointe par quelque 500 personnes. On allègue que les vaccins auraient été approuvés sans base logique ni preuves permettant de déterminer leur niveau de sûreté, accusant par ailleurs le gouvernement de négligence pour avoir gardé ces produits sur le marché malgré la constatation des effets indésirables. Ce recours a été motivé par l'insuffisance perçue du mécanisme existant de signalement de tels effets en place en Australie depuis 2021. Si certains individus ont bien été dédommagés, plusieurs milliers attendent encore l’étude de leur cas. Le gouvernement semble pourtant avoir anticipé une vague de plaintes, ayant prévu $77 millions AUS en octobre 2022 pour le dédommagement des victimes pendant l'année en cours.
En Italie, on observe des développements analogues. L’ex-Ministre de la santé Roberto Speranza et l’ex-directeur de l’Agence Pharmaceutique Italienne (AIFA) Nicola Magrini font actuellement l’objet d’une dénonciation déposée au Procureur de Rome par l’Association Ascoltami des victimes des effets secondaires des vaccins, ainsi que par deux syndicats. On accuse Speranza et Magrini de corruption dans l’exercice de leurs fonctions et d'actions contraires à leurs obligations de fonction suite à la révélation par l’émission TV Fuori dal Coro de documents internes de l’AIFA. Ces « Aifa leaks » montrent notamment la censure d’informations parvenues à l’agence concernant le nombre de décès potentiellement liés aux vaccins ainsi qu’une corrélation possible entre la vaccination et des problèmes chez des nouveaux-nés allaités par des mères vaccinées. On demande par ailleurs la saisie des vaccins à ARN messager afin d’enquêter sur les lipides ALC 0315/ALC 0159 (Pfizer) et SM 102 (Moderna), suite à la publication par le biochimiste Gabriele Segalla d’un article scientifique se plaignant de l’absence d’études toxicologiques concernant ces substances jamais utilisées en Europe et qui ne figurent pas dans la Pharmacopée européenne. Analysant le vaccin de Pfizer-BioNTech au niveau des nanoparticules, Segalla montre également que la composition de la 1ère version du vaccin (flacons à bouchon violet) contredisait les normes de sécurité mentionnées explicitement par BioNTech dans le brevet d’un autre produit à ARN messager sorti en 2019. Ils auraient donc livré un produit instable tout en connaissant les dangers potentiels. Une 2ème version a été sortie par Pfizer-BioNTech en octobre 2021, promettant une plus grande stabilité, mais sans que les flacons à bouchon violet soient retirés du commerce.
Les accusations contre l’AIFA sont lourdes, notamment en ce qui concerne son inaction face aux dangers thrombotiques du vaccin d’AstraZeneca. Ayant suivi d'autres pays en le suspendant par précaution en mars 2021, l’AIFA a pourtant organisé des journées « portes ouvertes » offrant la vaccination malgré des mises en garde à l'égard d'éventuels accidents cardio-vasculaires. Le 10 juin 2021, Camilla Canepa (18 ans) meurt d’une thrombose cérébrale lors d’une telle journée après l’administration du vaccin. Speranza et Magrini auraient également essayé de bloquer la saisie d’un lot d'AstraZeneca ordonnée par le Procureur après le décès du militaire Stefano Paterno suite à la vaccination. L'équipe de Fuori dal Coro a aussi montré comment toute référence à d’éventuels décès dans l'ébauche d'un rapport de pharmacovigilance de l’AIFA a été supprimée avant sa publication finale.
Une accusation connexe concerne l'étrange hostilité des autorités aux traitements précoces contre le covid-19, comme a souligné le Dr Andrea Stramezzi (vidéo: 19:55) au 3ème International Covid Summit au Parlement européen à Bruxelles le 3 mai. Se basant sur les publications d'Anthony Fauci à l'égard du SARS-CoV1 ainsi que les expériences in vitro du Pr Didier Raoult sur le SARS-CoV2, le Dr Stramezzi avait soigné de nombreux patients au début de la pandémie avec un protocole utilisant des médicaments déjà connus, tout comme le Dr Gerardo Torre, qui a guéri plus de 3 000 malades chez eux en ignorant les conseils officiels en cas d’infection (semblables à ceux donnés en France – Paracetamol et « attente vigilante »). Des conseils donnés, selon plusieurs intervenants à Bruxelles, afin de créer l'impression, malgré l'évidence du contraire, que le covid-19 ne pouvait pas être traité – une condition préalable pour pouvoir autoriser les vaccins. Coïncidence ou stratégie commerciale et politique ?