Bioéthique
« Un homme va accoucher » ! Une première ? Non : une supercherie
Medias et réseaux sociaux en bruissent depuis une dizaine de jours : un homme est enceint et va accoucher en juillet prochain ! Son nom : Trystan Reese, citoyen américain. Il vit en couple avec un homme, et tous deux ont adopté deux enfants.
Une première ? Pas vraiment, répond Alliance Vita qui cite deux précédents très médiatisés de personnes « transgenres » ayant enfanté, parmi des dizaines d’autres. Surtout, c’est une supercherie, souligne Tugdual Derville, délégué général d’Alliance Vita : « Il s’agit ici d’une femme. Elle a pris des hormones pour avoir un aspect plus masculin (pilosité faciale, voix plus grave) mais elle reste capable d’être mère. Cette maternité prouve justement son statut féminin. »
Le but poursuivi est idéologique, c’est le transhumanisme : « …les troubles de l’identité sexuelle sont sciemment utilisés comme Cheval de Troie pour dissoudre dans les esprits la différence homme-femme et déconstruire les identités masculines et féminines. » Donc, ne tombons pas dans le piège compassionnel tendu à l’opinion : « Une chose est de reconnaître la réelle souffrance éprouvée par des personnes en difficulté avec leur identité sexuée, une autre est de prétendre qu’un homme accouche. »
Une première ? Pas vraiment, répond Alliance Vita qui cite deux précédents très médiatisés de personnes « transgenres » ayant enfanté, parmi des dizaines d’autres. Surtout, c’est une supercherie, souligne Tugdual Derville, délégué général d’Alliance Vita : « Il s’agit ici d’une femme. Elle a pris des hormones pour avoir un aspect plus masculin (pilosité faciale, voix plus grave) mais elle reste capable d’être mère. Cette maternité prouve justement son statut féminin. »
Le but poursuivi est idéologique, c’est le transhumanisme : « …les troubles de l’identité sexuelle sont sciemment utilisés comme Cheval de Troie pour dissoudre dans les esprits la différence homme-femme et déconstruire les identités masculines et féminines. » Donc, ne tombons pas dans le piège compassionnel tendu à l’opinion : « Une chose est de reconnaître la réelle souffrance éprouvée par des personnes en difficulté avec leur identité sexuée, une autre est de prétendre qu’un homme accouche. »