Éducation
Enfants et ados en péril
« Un tiers des 13-14 ans ont déjà vu un film X » alerte Le Figaro . Et plus de la moitié des adolescents de 15 à 17 ans. Les enfants eux-mêmes sont touchés de plus en plus jeunes : « Un enfant sur sept a vu son premier film X à 11-12 ans, voire plus jeune » selon l’enquête que dévoile Le Figaro.
La « consommation » de X a bondi en trois ans de 14 % chez les garçons, et de 37 % chez les filles. « Au collège, si un adolescent n’y a pas accès sur son téléphone, ce sera sur celui d’un camarade.
Éducateurs et psychologues constatent les dégâts : « Les plus jeunes ont six ans et sont en CP. Ces enfants peuvent être très culpabilisés d’avoir vu ces images. Des symptômes peuvent alors apparaître, comme des cauchemars, des accès de tristesse, un refus d’aller à l’école ou de voir leurs amis… » Les relations entre les garçons et les filles se dégradent. Ces dernières se font parfois traiter de “putes” dès le CM1-CM2. » Avec des répercussions sur la vie sexuelle : « Fille ou garçon, ceux qui ont déjà eu un rapport sexuel sont près de un sur deux à avoir déjà reproduit des scènes de films X »
Comment lutter ? Exposer des mineurs à la pornographie est interdit et puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende par le Code pénal mais les “tubes”, ces portails de vidéos gratuites, n’en ont cure. La ministre « des familles » Laurence Rossignol veut rendre effective l'interdiction des sites pornographiques aux mineurs mais approuve les programmes d’éducation sexuelle -qui font place aux pratiques homosexuelles- diffusés par sa collègue Najat Vallaud-Belkacem dans les écoles… Plus que jamais, l’éducation à la vie affective et sexuelle aux enfants par leurs parents, progressivement, dès le plus jeune âge s’avère cruciale.
La « consommation » de X a bondi en trois ans de 14 % chez les garçons, et de 37 % chez les filles. « Au collège, si un adolescent n’y a pas accès sur son téléphone, ce sera sur celui d’un camarade.
Éducateurs et psychologues constatent les dégâts : « Les plus jeunes ont six ans et sont en CP. Ces enfants peuvent être très culpabilisés d’avoir vu ces images. Des symptômes peuvent alors apparaître, comme des cauchemars, des accès de tristesse, un refus d’aller à l’école ou de voir leurs amis… » Les relations entre les garçons et les filles se dégradent. Ces dernières se font parfois traiter de “putes” dès le CM1-CM2. » Avec des répercussions sur la vie sexuelle : « Fille ou garçon, ceux qui ont déjà eu un rapport sexuel sont près de un sur deux à avoir déjà reproduit des scènes de films X »
Comment lutter ? Exposer des mineurs à la pornographie est interdit et puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende par le Code pénal mais les “tubes”, ces portails de vidéos gratuites, n’en ont cure. La ministre « des familles » Laurence Rossignol veut rendre effective l'interdiction des sites pornographiques aux mineurs mais approuve les programmes d’éducation sexuelle -qui font place aux pratiques homosexuelles- diffusés par sa collègue Najat Vallaud-Belkacem dans les écoles… Plus que jamais, l’éducation à la vie affective et sexuelle aux enfants par leurs parents, progressivement, dès le plus jeune âge s’avère cruciale.