Isabelle - 09/01/2025 à 16:56
Il s'agit d'être conservateur lorsque l'on veut défendre l'intérêt supérieur de l'enfant, de dénoncer l'e côté répréhensible de la plus grande partie du contenu de ce que propose ces séances, que de parler de sexualité à un enfant nuit directement sur ces capacités d'apprentissage, de concentration et qui dans beaucoup de cas vont le déranger, l effracter, avec des effets qui peuvent être aussi bien a court, a moyen ou long terme. Si l'on considère les chiffres (cf la civise1) les chiffres des bourreaux qui ne sont dans + de 97% des cas pas inquiétés et encore moins incriminés, comment pouvoir prétexter la prévention contre les violences sexuelles commises sur les enfants ?! Comment ?! Aussi quel pré ado, ado ne s'est pas senti plus ou moins mal dans sa peau ?! Est-ce pour autant qu'il serait né dans le mauvais corps? N'y a t'il rien d'autre pensez vous à lui proposer qu'une transition de genre? Si l'on souhaite lutter c/ les discriminations, ne peut on pas revoir la copie qui avec une seule et même enveloppe pourrait œuvrer au sens large? Les origines, les situations handicapantes etc... Pourquoi autant d'argent et d'énergie déployés pour cette seule et unique cause ? Je pourrais vous en écrire en long en large des contre arguments et si c'est cela selon vous être conservateur, alors pas de soucis, je l'assume pleinement et nous sommes très nombreux.
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edith - 10/12/2024 à 15:42
Puisqu'il est établi que les abus sexuels sur mineurs sont dans la grande majorité des cas causés par l'entourage familial, il est indispensable que les enfants reçoivent une information adaptée en provenance de l'extérieur de la famille car vouloir laisser cette mission à leur éventuel prédateur signifie manquer à la protection de l'enfance dont toute société digne doit assumer la responsabilité.
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